top of page
PAGE EN COURS DE REALISATION
RENONCULE
Le nom de renoncule dérive du latin ranunculus (« petite grenouille »), diminutif de rana (cf rainette), car plusieurs espèces sont aquatiques et plusieurs autres affectionnent les endroits humides que fréquentent ces amphibiens2.
Ses autres noms ou surnoms sont : grenouillette, fleur de l'impatience, « goblet du diable » à cause de ses propriétés toxiques. Certaines espèces sont surnommées « fleur de beurre » en allemand (Butterblume, parallèlement à scharfer Hahnenfuß) et au néerlandais (boterbloem) et « tasse de beurre » en anglais (buttercup), car une mince couche lipidique située sous l'épiderme des pétales les rend brillantes, produisant un reflet jaune qui évoque la couleur du beurre. Cette propriété est également à l'origine du nom vernaculaire de « bouton-d'or » couramment donné à plusieurs espèces de renoncules à fleurs jaunes (renoncule âcre (Ranunculus acris), renoncule bulbeuse (Ranunculus bulbosus), renoncule graminée (Ranunculus gramineus), renoncule rampante (Ranunculus repens)…).
Ses autres noms ou surnoms sont : grenouillette, fleur de l'impatience, « goblet du diable » à cause de ses propriétés toxiques. Certaines espèces sont surnommées « fleur de beurre » en allemand (Butterblume, parallèlement à scharfer Hahnenfuß) et au néerlandais (boterbloem) et « tasse de beurre » en anglais (buttercup), car une mince couche lipidique située sous l'épiderme des pétales les rend brillantes, produisant un reflet jaune qui évoque la couleur du beurre. Cette propriété est également à l'origine du nom vernaculaire de « bouton-d'or » couramment donné à plusieurs espèces de renoncules à fleurs jaunes (renoncule âcre (Ranunculus acris), renoncule bulbeuse (Ranunculus bulbosus), renoncule graminée (Ranunculus gramineus), renoncule rampante (Ranunculus repens)…).
VERONIQUE
Les véroniques (Veronica) sont un genre de plantes herbacées annuelles ou pérennes comptant plus de 200 espèces à travers le monde.
La plante doit son nom à sainte Véronique, qui aurait recueilli un linge portant les traits du Christ et aurait, grâce à ce linge, guéri l'empereur Tibère de la lèpre. Or, la véronique officinale (Veronica officinalis) était utilisée autrefois en application sur les plaies des lépreux (d'où son nom familier d'herbe-aux-ladres). Pierre Fournier rapporte dans Les quatre flores de France que la fleur des véroniques était comparée au Moyen Âge à l'empreinte du Christ (verum icon, « vraie image ») car elle dessinait un visage rudimentaire avec les 2 anthères figurant les yeux1
La plante doit son nom à sainte Véronique, qui aurait recueilli un linge portant les traits du Christ et aurait, grâce à ce linge, guéri l'empereur Tibère de la lèpre. Or, la véronique officinale (Veronica officinalis) était utilisée autrefois en application sur les plaies des lépreux (d'où son nom familier d'herbe-aux-ladres). Pierre Fournier rapporte dans Les quatre flores de France que la fleur des véroniques était comparée au Moyen Âge à l'empreinte du Christ (verum icon, « vraie image ») car elle dessinait un visage rudimentaire avec les 2 anthères figurant les yeux1
GERBERA
Gerbera est un genre de plantes à fleurs de la famille des Asteraceae. Ses espèces sont souvent utilisées comme plantes ornementales. Il a été nommé ainsi en hommage au naturaliste allemand Traugott Gerber, ami de Carl von Linné. Dans le langage des fleurs, la signification du gerbera est l'amour profond, les tendres pensées.
DELPHINIUM
Le genre Delphinium, les Dauphinelles ou Pied-d'alouette, regroupe plus de 350 espèces de plantes herbacées généralement vivaces, rarement annuelles ou bisannuelles, de la famille des Renonculacées. Elles sont surtout originaires des régions tempérées de l'hémisphère nord, mais on en retrouve aussi quelques espèces dans les hautes montagnes d'Afrique équatoriale.
Elles partagent leurs noms communs avec le genre voisin Consolida qui regroupe les plantes dont les fruits ne sont constitués que d'un seul follicule.
En 2011, grâce à une étude phylogénétique, Florian Jabbour et Susanne S. Renner ont montré que les genres Consolida et Aconitella devaient être regroupés au genre Delphinium1.
Elles partagent leurs noms communs avec le genre voisin Consolida qui regroupe les plantes dont les fruits ne sont constitués que d'un seul follicule.
En 2011, grâce à une étude phylogénétique, Florian Jabbour et Susanne S. Renner ont montré que les genres Consolida et Aconitella devaient être regroupés au genre Delphinium1.
FORSYTHIA
Le genre Forsythia (prononcé en français [fɔʁ.si.sja]) est un genre d'arbustes rustiques de la famille des Oleaceae2, reconnus en général par leur abondante floraison ornementale jaune d'or, qui se produit parmi les premières de l'année en fin d'hiver et début de printemps de l'hémisphère nord. Leur limbe est dit composé de plusieurs folioles, ovale, doublement denté et alterne.
Le genre compte une dizaine d'espèces, essentiellement d'Asie orientale tempérée (Chine orientale, Corée, Japon). Une espèce sans usage horticole est originaire d'Albanie.
Martin Vahl, professeur de botanique à Copenhague, a découvert ce genre début 1804, à partir des travaux d'observation de la flore japonaise du naturaliste suédois Carl Peter ThunbergNote 1,3. Il le nomme en l'honneur du botaniste, horticulteur et arboriculteur William Forsyth, surintendant des jardins de Sa Majesté britannique, un des cofondateurs de la Royal Horticultural Society. William Forsyth et Martin Vahl sont tous deux décédés cette même année 1804, et le nom du genre a été publié en 1805 à titre posthume.
Le premier plant vivant de Forsythia suspensa, originaire des jardins du Japon, aurait été introduit aux Pays-Bas par Verkerk Pistorius en 1833Note 2,4. La culture de cet arbuste décoratif à port rampant, réintroduit et répandu par les pépinières Veitch en Angleterre, aurait permis de former les premiers hybrides.
Les Forsythia sont les hôtes de chenilles de quelques lépidoptères dont Euproctis chrysorrhoea et Naenia typica.
Le genre compte une dizaine d'espèces, essentiellement d'Asie orientale tempérée (Chine orientale, Corée, Japon). Une espèce sans usage horticole est originaire d'Albanie.
Martin Vahl, professeur de botanique à Copenhague, a découvert ce genre début 1804, à partir des travaux d'observation de la flore japonaise du naturaliste suédois Carl Peter ThunbergNote 1,3. Il le nomme en l'honneur du botaniste, horticulteur et arboriculteur William Forsyth, surintendant des jardins de Sa Majesté britannique, un des cofondateurs de la Royal Horticultural Society. William Forsyth et Martin Vahl sont tous deux décédés cette même année 1804, et le nom du genre a été publié en 1805 à titre posthume.
Le premier plant vivant de Forsythia suspensa, originaire des jardins du Japon, aurait été introduit aux Pays-Bas par Verkerk Pistorius en 1833Note 2,4. La culture de cet arbuste décoratif à port rampant, réintroduit et répandu par les pépinières Veitch en Angleterre, aurait permis de former les premiers hybrides.
Les Forsythia sont les hôtes de chenilles de quelques lépidoptères dont Euproctis chrysorrhoea et Naenia typica.
TUBEREUSE
La tubéreuse (Polianthes tuberosa) est une plante herbacée appartenant au genre Agave de la famille des Agavaceae ou, plus récemment, à celle des Asparagaceae, selon la classification phylogénétique APG III (2009)2.
Présentation
Originaire du Mexique, elle a été introduite en Europe puis en Asie à partir du XVIe siècle. Elle était autrefois abondante dans la région de Grasse, et elle recommence à être cultivée aujourd'hui, et c'est en Inde que les récoltes sont les plus abondantes. La tubéreuse est surtout utilisée pour la fleur coupée et pour la parfumerie. On peut aussi la cultiver en pot, tout en sachant que son bulbe ne fleurit qu'une fois.
En parfumerie
L'essence naturelle de tubéreuse était jadis obtenue par la technique de l'enfleurage à froid (les fleurs étant déposées sur des plaques enduites de graisse inodore, qui s'imprégnait de leur parfum. Un solvant tel que l'éthanol permettait d'obtenir par la suite une essence dite « absolue »). Aujourd'hui, l'enfleurage à froid n'est plus guère utilisé. La fleur est directement extraite par des solvants volatils. (source : osMoz, esprit de Parfum)
Le résultat obtenu est une note très capiteuse, plutôt verte au départ, elle évolue vers une rondeur lactée et solaire, pouvant rappeler un effet noix de coco. La tubéreuse entre notamment dans la composition de Poison, un parfum créé en 1985 pour la maison de parfums Christian Dior. Narcisse Noir de Caron, créé en 1911 par Ernest Daltroff et Fracas de Robert Piguet, composé en 1948 par Germaine Cellier peuvent être considérés comme des précurseurs de la note de tubéreuse en parfumerie. Giorgio de Giorgio Beverly Hills (1981), Tubéreuse Criminelle de Serge Lutens (1999), Fragile de Jean Paul Gaultier (1999), ou encore Carnal Flower des Éditions de Parfums Frédéric Malle (2005) en sont des représentants.
Cette odeur capiteuse, persistante, un peu inquiétante, est également présente dans la fleur fraîche, Zola allant même jusqu'à écrire dans Nana que « quand les tubéreuses se décomposent, elles ont une odeur humaine. » Il faut dire que la tubéreuse présente une étrange particularité : ses fleurs continuent de diffuser leurs particules odorantes pendant plus de 48 heures après avoir été cueillies
Présentation
Originaire du Mexique, elle a été introduite en Europe puis en Asie à partir du XVIe siècle. Elle était autrefois abondante dans la région de Grasse, et elle recommence à être cultivée aujourd'hui, et c'est en Inde que les récoltes sont les plus abondantes. La tubéreuse est surtout utilisée pour la fleur coupée et pour la parfumerie. On peut aussi la cultiver en pot, tout en sachant que son bulbe ne fleurit qu'une fois.
En parfumerie
L'essence naturelle de tubéreuse était jadis obtenue par la technique de l'enfleurage à froid (les fleurs étant déposées sur des plaques enduites de graisse inodore, qui s'imprégnait de leur parfum. Un solvant tel que l'éthanol permettait d'obtenir par la suite une essence dite « absolue »). Aujourd'hui, l'enfleurage à froid n'est plus guère utilisé. La fleur est directement extraite par des solvants volatils. (source : osMoz, esprit de Parfum)
Le résultat obtenu est une note très capiteuse, plutôt verte au départ, elle évolue vers une rondeur lactée et solaire, pouvant rappeler un effet noix de coco. La tubéreuse entre notamment dans la composition de Poison, un parfum créé en 1985 pour la maison de parfums Christian Dior. Narcisse Noir de Caron, créé en 1911 par Ernest Daltroff et Fracas de Robert Piguet, composé en 1948 par Germaine Cellier peuvent être considérés comme des précurseurs de la note de tubéreuse en parfumerie. Giorgio de Giorgio Beverly Hills (1981), Tubéreuse Criminelle de Serge Lutens (1999), Fragile de Jean Paul Gaultier (1999), ou encore Carnal Flower des Éditions de Parfums Frédéric Malle (2005) en sont des représentants.
Cette odeur capiteuse, persistante, un peu inquiétante, est également présente dans la fleur fraîche, Zola allant même jusqu'à écrire dans Nana que « quand les tubéreuses se décomposent, elles ont une odeur humaine. » Il faut dire que la tubéreuse présente une étrange particularité : ses fleurs continuent de diffuser leurs particules odorantes pendant plus de 48 heures après avoir été cueillies
BUPLEURUM
Les Buplèvres (Bupleurum) forment un genre qui comprend près de 100 espèces de plantes herbacées annuelles ou vivaces aux feuilles simples, aux gaines foliaires hypertrophiées et aux fleurs en petites ombelles.
I'm an image title
Describe your image here.
AMARANTHE
Amaranthus (les amarantes ou amaranthes) est un genre de plantes dicotylédones de la famille des Amaranthaceae, originaire des régions tempérées et tropicales.
Ce sont des plantes herbacées vivaces mais gélives ou annuelles, dont certaines espèces sont cultivées comme plantes potagères, pour leurs feuilles comestibles2 à la manière des épinards ou pour leurs graines3, et parfois comme plantes ornementales pour leur floraison en épis spectaculaires. Quelques espèces sont considérées comme « mauvaises herbes », communes dans les champs cultivés et pour certaines devenues très problématiques dans les cultures transgéniques car résistant maintenant au glyphosate, le désherbant le plus utilisé au monde4. On la trouve sur tout le territoire français jusque dans le sud sur des stations sèches (friches et terrains en construction, région d'Aix-en-Provence).
Ce sont des plantes herbacées vivaces mais gélives ou annuelles, dont certaines espèces sont cultivées comme plantes potagères, pour leurs feuilles comestibles2 à la manière des épinards ou pour leurs graines3, et parfois comme plantes ornementales pour leur floraison en épis spectaculaires. Quelques espèces sont considérées comme « mauvaises herbes », communes dans les champs cultivés et pour certaines devenues très problématiques dans les cultures transgéniques car résistant maintenant au glyphosate, le désherbant le plus utilisé au monde4. On la trouve sur tout le territoire français jusque dans le sud sur des stations sèches (friches et terrains en construction, région d'Aix-en-Provence).
AGERATUM
L’Ageratum houstonianum (syn. mexicanum) également appelé « Agérate du Mexique », « Agérate Bleue » ou encore « Célestine » est une plante vivace peu rustique, que l’on cultive le plus souvent en annuelle dans nos jardins.
C’est l’une des plus belles fleurs bleues pour les compositions estivales !
Des variétés naines comme l’Ageratum ‘Danube bleu’ (‘Blue Danube’) aux fleurs d’un bleu pur, à l’ageratum blanc, en passant par l’un des plus hauts, l’agérate ‘Red Sea’ avec ses fleurs rouge foncé, tous sont appréciés pour leur floraison qui s’étale du printemps jusqu’aux premières gelées.
Grand classique des aménagements paysagers publics, l’Agérate s’épanouit en ombelles de petits capitules plumeux qui trouvent aussi très bien leur place au premier-plan des massifs ou en bordure dans tous nos jardins ou même en pot sur nos terrasses.
Plein de fraîcheur, l’Ageratum est des plus faciles à cultiver au soleil, dans toute bonne terre de jardin drainée restant fraîche en été : l’Agérate n’exige que des arrosages réguliers pour fleurir à profusion.
C’est l’une des plus belles fleurs bleues pour les compositions estivales !
Des variétés naines comme l’Ageratum ‘Danube bleu’ (‘Blue Danube’) aux fleurs d’un bleu pur, à l’ageratum blanc, en passant par l’un des plus hauts, l’agérate ‘Red Sea’ avec ses fleurs rouge foncé, tous sont appréciés pour leur floraison qui s’étale du printemps jusqu’aux premières gelées.
Grand classique des aménagements paysagers publics, l’Agérate s’épanouit en ombelles de petits capitules plumeux qui trouvent aussi très bien leur place au premier-plan des massifs ou en bordure dans tous nos jardins ou même en pot sur nos terrasses.
Plein de fraîcheur, l’Ageratum est des plus faciles à cultiver au soleil, dans toute bonne terre de jardin drainée restant fraîche en été : l’Agérate n’exige que des arrosages réguliers pour fleurir à profusion.
ANEMONE
L'anémone des fleuristes (Anemone coronaria) est appréciée et sélectionnée par les horticulteurs pour ses fleurs aux couleurs vives, notamment sous le nom d'anémone de Caen et sa forme améliorée par l'agronomie, la tétranémone7.
HORTENSIA
HYDRANGEA
CENTAUREE
bottom of page